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Le comptage sur les doigts pour la résolution de problèmes arithmétiques: avancée des connaissances / Catherine THEVENOT in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 180 (Octobre 2022)
[article]
Titre : Le comptage sur les doigts pour la résolution de problèmes arithmétiques: avancée des connaissances Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : Catherine THEVENOT, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p.555-562 Langues : Français (fre) Mots-clés : Mathématiques Arithmétique Comptage Représentations digitales Doigts Enseignement Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Une question qui tourmente les praticiens, les enseignants et les éducateurs est de savoir si l’utilisation des doigts par les enfants pour résoudre des calculs arithmétiques doit être encouragée ou non à l’école ou lors des séances de rééducation ou de remédiation. Compter sur ses doigts ou compter trop longtemps sur ses doigts pourrait en effet être le signe de difficultés en mathématiques. Dans cet article nous verrons que ceci est vrai seulement à partir du CE2, donc à partir de l’âge de 8-9 ans, lorsque les enfants utilisent leurs doigts pour résoudre des additions très simples comme 2 + 3 ou 4 + 5. Avant cet âge, la stratégie de comptage sur les doigts est au contraire utilisée plus fréquemment par les enfants efficaces cognitivement et doués en arithmétique. Cependant, nous verrons aussi que rien ne nous renseigne encore aujourd’hui définitivement sur le bien-fondé d’encourager les enfants très jeunes à calculer sur leurs doigts lorsqu’ils ne le font pas spontanément ou sur la pertinence de décourager les enfants plus âgés à utiliser leurs doigts lors de la résolution de problèmes arithmétiques. Néanmoins, nous conclurons que le calcul sur les doigts est à considérer comme une excellente stratégie à partir de laquelle des stratégies plus matures et internalisées pourraient être élaborées. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=494
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 180 (Octobre 2022) . - p.555-562[article] Le comptage sur les doigts pour la résolution de problèmes arithmétiques: avancée des connaissances [Texte imprimé et/ou numérique] / Catherine THEVENOT, Auteur . - 2022 . - p.555-562.
Langues : Français (fre)
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 180 (Octobre 2022) . - p.555-562
Mots-clés : Mathématiques Arithmétique Comptage Représentations digitales Doigts Enseignement Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Une question qui tourmente les praticiens, les enseignants et les éducateurs est de savoir si l’utilisation des doigts par les enfants pour résoudre des calculs arithmétiques doit être encouragée ou non à l’école ou lors des séances de rééducation ou de remédiation. Compter sur ses doigts ou compter trop longtemps sur ses doigts pourrait en effet être le signe de difficultés en mathématiques. Dans cet article nous verrons que ceci est vrai seulement à partir du CE2, donc à partir de l’âge de 8-9 ans, lorsque les enfants utilisent leurs doigts pour résoudre des additions très simples comme 2 + 3 ou 4 + 5. Avant cet âge, la stratégie de comptage sur les doigts est au contraire utilisée plus fréquemment par les enfants efficaces cognitivement et doués en arithmétique. Cependant, nous verrons aussi que rien ne nous renseigne encore aujourd’hui définitivement sur le bien-fondé d’encourager les enfants très jeunes à calculer sur leurs doigts lorsqu’ils ne le font pas spontanément ou sur la pertinence de décourager les enfants plus âgés à utiliser leurs doigts lors de la résolution de problèmes arithmétiques. Néanmoins, nous conclurons que le calcul sur les doigts est à considérer comme une excellente stratégie à partir de laquelle des stratégies plus matures et internalisées pourraient être élaborées. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=494 Dyscalculiques ou « mal débutés »? Les réponses de la comparaison 87-99-2007 (DEPP) / Rémi BRISSIAUD in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 120-121 (Novembre-Décembre 2012)
[article]
Titre : Dyscalculiques ou « mal débutés »? Les réponses de la comparaison 87-99-2007 (DEPP) Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : Rémi BRISSIAUD, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p.503-510 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dyscalculie Troubles du calcul Comptage Evaluation Arithmétique Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Cet article présente une épidémiologie de l’effondrement des performances en calcul qui s’est produit après 1987, a été observé en 1999 et confirmé depuis (Rocher 2008). Cette épidémiologie permet d’isoler un facteur explicatif et, jusqu’a preuve du contraire, d’exclure tous les autres: l’enseignement du comptage-numérotage (Brissiaud, 1989) qui se pratique à l’école maternelle et au CP à partir de 1987 environ. Elle montre que les élèves « potentiellement dyscalculiques » et les élèves faibles sans être potentiellement dyscalculiques, se ressemblent plus qu’ils ne diffèrent et qu’ils ont en commun d’avoir été « mal débutés » (Canac, 1955). Elle conforte les principales conclusions de Jean-Paul Fischer dans le n° 102 d’A.N.A.E. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=188
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 120-121 (Novembre-Décembre 2012) . - p.503-510[article] Dyscalculiques ou « mal débutés »? Les réponses de la comparaison 87-99-2007 (DEPP) [Texte imprimé et/ou numérique] / Rémi BRISSIAUD, Auteur . - 2012 . - p.503-510.
Langues : Français (fre)
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 120-121 (Novembre-Décembre 2012) . - p.503-510
Mots-clés : Dyscalculie Troubles du calcul Comptage Evaluation Arithmétique Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Cet article présente une épidémiologie de l’effondrement des performances en calcul qui s’est produit après 1987, a été observé en 1999 et confirmé depuis (Rocher 2008). Cette épidémiologie permet d’isoler un facteur explicatif et, jusqu’a preuve du contraire, d’exclure tous les autres: l’enseignement du comptage-numérotage (Brissiaud, 1989) qui se pratique à l’école maternelle et au CP à partir de 1987 environ. Elle montre que les élèves « potentiellement dyscalculiques » et les élèves faibles sans être potentiellement dyscalculiques, se ressemblent plus qu’ils ne diffèrent et qu’ils ont en commun d’avoir été « mal débutés » (Canac, 1955). Elle conforte les principales conclusions de Jean-Paul Fischer dans le n° 102 d’A.N.A.E. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=188 Le processus de subitizing chez les enfants présentant un retard mental / R. LEPINE in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 74-75 (Décembre 2003)
[article]
Titre : Le processus de subitizing chez les enfants présentant un retard mental Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : R. LEPINE, Auteur Année de publication : 2003 Article en page(s) : p.256-263 Langues : Français (fre) Mots-clés : Subitizing Comptage Canonicité Retard mental Attention Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Dans le but d’étudier le processus de subitizing, nous avons demandé à des enfants présentant un retard mental de quantifier des collections de un à quatorze points disposés aléatoirement ou de façon canonique. Leurs performances ont été comparées à celles d’un groupe d’enfants tout- venant appareillés sur l’âge mental, et à celles d’un groupe d’enfants tout-venant de CE2. Les résultats montrent que les enfants déficients utilisent les mêmes procédures que les enfants sans retard mental (i.e., subitizing et comptage). Cependant, les temps de dénombrement et la pente qui les relie au nombre d’objets sont pius importants chez les enfants présentant un retard mental. En outre, ces enfants utilisent le subitizing pour un et deux éléments seulement, comme les enfants appareillés sur l’âge mental, alors que les enfants de CE2 l’utilisent jusqu’à quatre. Ces différences sont probablement imputables à des différences en termes de capacités attentionnelles. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=196
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 74-75 (Décembre 2003) . - p.256-263[article] Le processus de subitizing chez les enfants présentant un retard mental [Texte imprimé et/ou numérique] / R. LEPINE, Auteur . - 2003 . - p.256-263.
Langues : Français (fre)
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 74-75 (Décembre 2003) . - p.256-263
Mots-clés : Subitizing Comptage Canonicité Retard mental Attention Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Dans le but d’étudier le processus de subitizing, nous avons demandé à des enfants présentant un retard mental de quantifier des collections de un à quatorze points disposés aléatoirement ou de façon canonique. Leurs performances ont été comparées à celles d’un groupe d’enfants tout- venant appareillés sur l’âge mental, et à celles d’un groupe d’enfants tout-venant de CE2. Les résultats montrent que les enfants déficients utilisent les mêmes procédures que les enfants sans retard mental (i.e., subitizing et comptage). Cependant, les temps de dénombrement et la pente qui les relie au nombre d’objets sont pius importants chez les enfants présentant un retard mental. En outre, ces enfants utilisent le subitizing pour un et deux éléments seulement, comme les enfants appareillés sur l’âge mental, alors que les enfants de CE2 l’utilisent jusqu’à quatre. Ces différences sont probablement imputables à des différences en termes de capacités attentionnelles. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=196