Efficacité d’un entraînement en morphologie dérivationnelle chez des enfants avec un Trouble Spécifique du Langage Ecrit (TSLEEfficacité d’un entraînement en morphologie dérivationnelle chez des enfants avec un Trouble Spécifique du Langage Ecrit (TSLE) / Estelle ARDANOUY in Rééducation Orthophonique, 288 (Décembre 2021)

Public ISBD [article]  inRééducation Orthophonique > 288 (Décembre 2021) . - p.157-177 Titre : Efficacité d’un entraînement en morphologie dérivationnelle chez des enfants avec un Trouble Spécifique du Langage Ecrit (TSLEEfficacité d’un entraînement en morphologie dérivationnelle chez des enfants avec un Trouble Spécifique du Langage Ecrit (TSLE) Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : Estelle ARDANOUY, Auteur ; Pascal ZESIGER, Auteur ; Hélène DELAGE, Auteur Article en page(s) : p.157-177 Langues : Français (fre) Mots-clés : rééducation  dyslexie  orthographe  morphologie  intensif Index. décimale : PER Périodiques Résumé : La morphologie dérivationnelle est un domaine de plus en plus étudié dans la littérature scientifique, et encore peu exploré en recherche clinique malgré son intérêt potentiel de généralisation. En effet, la morphologie joue un rôle dans l’apprentissage de la lecture et de l’orthographe des enfants. Plusieurs méta-analyses rapportent également l’effet d’entraînements de la morphologie sur la conscience morphologique, la lecture, l’orthographe et le lexique pour des enfants avec troubles du langage écrit (Galuschka et al., 2020 ; Goodwin & Ahn, 2010). Un protocole original sur la morphologie dérivationnelle a été mené avec un enfant de 9 ans présentant un Trouble Spécifique du Langage Ecrit (TSLE) dans le but d’améliorer sa conscience morphologique (effet direct), puis, par extension, son orthographe lexicale et sa lecture (effets indirects). Il est retrouvé une amélioration significative pour toutes les épreuves de conscience morphologique. Des résultats semblables sont notés sur l’orthographe de mots morphologiquement composés avec un effet de généralisation sur des mots non entraînés. Enfin, des effets limités sont retrouvés pour la lecture. Les gains observés sont maintenus sur le long terme (10 semaines après l’entraînement). L’entraînement morphologique s’est donc révélé une réponse efficace aux difficultés orthographiques du patient et adaptable à la pratique clinique en orthophonie. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=462 [article] Efficacité d’un entraînement en morphologie dérivationnelle chez des enfants avec un Trouble Spécifique du Langage Ecrit (TSLEEfficacité d’un entraînement en morphologie dérivationnelle chez des enfants avec un Trouble Spécifique du Langage Ecrit (TSLE) [Texte imprimé et/ou numérique] / Estelle ARDANOUY, Auteur ; Pascal ZESIGER, Auteur ; Hélène DELAGE, Auteur . - p.157-177. Langues : Français (fre) in Rééducation Orthophonique > 288 (Décembre 2021) . - p.157-177 Mots-clés : rééducation  dyslexie  orthographe  morphologie  intensif Index. décimale : PER Périodiques Résumé : La morphologie dérivationnelle est un domaine de plus en plus étudié dans la littérature scientifique, et encore peu exploré en recherche clinique malgré son intérêt potentiel de généralisation. En effet, la morphologie joue un rôle dans l’apprentissage de la lecture et de l’orthographe des enfants. Plusieurs méta-analyses rapportent également l’effet d’entraînements de la morphologie sur la conscience morphologique, la lecture, l’orthographe et le lexique pour des enfants avec troubles du langage écrit (Galuschka et al., 2020 ; Goodwin & Ahn, 2010). Un protocole original sur la morphologie dérivationnelle a été mené avec un enfant de 9 ans présentant un Trouble Spécifique du Langage Ecrit (TSLE) dans le but d’améliorer sa conscience morphologique (effet direct), puis, par extension, son orthographe lexicale et sa lecture (effets indirects). Il est retrouvé une amélioration significative pour toutes les épreuves de conscience morphologique. Des résultats semblables sont notés sur l’orthographe de mots morphologiquement composés avec un effet de généralisation sur des mots non entraînés. Enfin, des effets limités sont retrouvés pour la lecture. Les gains observés sont maintenus sur le long terme (10 semaines après l’entraînement). L’entraînement morphologique s’est donc révélé une réponse efficace aux difficultés orthographiques du patient et adaptable à la pratique clinique en orthophonie. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=462

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