L’abstraction réfléchissante : une spécificité des mathématiques? / Jean-Paul FISCHER in Rééducation Orthophonique, 255 (septembre 2013)

Public ISBD [article]  inRééducation Orthophonique > 255 (septembre 2013) . - p.7-18 Titre : L’abstraction réfléchissante : une spécificité des mathématiques? Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : Jean-Paul FISCHER, Auteur Article en page(s) : p.7-18 Langues : Français (fre) Mots-clés : mathématiques  épistémologie  abstraction réfléchissante  abstraction empirique  généralisation constructive  généralisation inductive Index. décimale : PER Périodiques Résumé : L’auteur suggère que si les mathématiques posent des problèmes d’apprentissage spécifiques, elles doivent solliciter des modes d’apprentissage qui leur sont spécifiques, Et, de fait, les réflexions épistémologiques de Piaget l’ont conduit a postuler une forme d’abstraction, qualifiée de réfléchissante, et la généralisation qui lui est associée, propre aux mathématiques. L’article illustre et développe cette forme de construction des connaissances mathématiques, et montre comment elle peut être favorisée avec de jeunes élèves. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=215 [article] L’abstraction réfléchissante : une spécificité des mathématiques? [Texte imprimé et/ou numérique] / Jean-Paul FISCHER, Auteur . - p.7-18. Langues : Français (fre) in Rééducation Orthophonique > 255 (septembre 2013) . - p.7-18 Mots-clés : mathématiques  épistémologie  abstraction réfléchissante  abstraction empirique  généralisation constructive  généralisation inductive Index. décimale : PER Périodiques Résumé : L’auteur suggère que si les mathématiques posent des problèmes d’apprentissage spécifiques, elles doivent solliciter des modes d’apprentissage qui leur sont spécifiques, Et, de fait, les réflexions épistémologiques de Piaget l’ont conduit a postuler une forme d’abstraction, qualifiée de réfléchissante, et la généralisation qui lui est associée, propre aux mathématiques. L’article illustre et développe cette forme de construction des connaissances mathématiques, et montre comment elle peut être favorisée avec de jeunes élèves. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=215

Combien y a-t-il d’élèves dyscalculiques? / Jean-Paul FISCHER in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 93 (septembre-octobre 2007)

Public ISBD [article]  inApproche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 93 (septembre-octobre 2007) . - p.141-149 Titre : Combien y a-t-il d’élèves dyscalculiques? Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : Jean-Paul FISCHER, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p.141-149 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dyscalculie-développementale Prévalence Evaluations-Nationales Elèves Difficultés-en-mathématiques Index. décimale : PER Périodiques Résumé : L’auteur procède à une revue systématique et critique des recherches ayant abouti à une prévalence d’au moins 6 % d’élèves dyscalculiques. Ensuite, à partir de critères qu’il a développés et justifiés (in Nouvelle Revue de l’AIS, 32, 85-98, 2005), il procède à une estimation du pourcentage d’élèves dyscalculiques à partir de huit échantillons des évaluations nationales françaises pour les élèves de CE2 et de 6 (plus de 10 000 élèves au total). La convergence des conclusions de la revue et des résultats de l’estimation conduit l’auteur à avancer qu’un pourcentage de 6 % est excessif Si la dyscalculie est vue comme un trouble spécifique du calcul (et de rien d’autre : e.g., la géométrie ou l’orthographe), un pourcentage de l’ordre de 1% (voire moins) serait plus approprié. Dans ce cas, le pourcentage de 6 % d’élèves dyscalculiques ne devrait plus avoir droit de cité Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=471 [article] Combien y a-t-il d’élèves dyscalculiques? [Texte imprimé et/ou numérique] / Jean-Paul FISCHER, Auteur . - 2007 . - p.141-149. Langues : Français (fre) in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 93 (septembre-octobre 2007) . - p.141-149 Mots-clés : Dyscalculie-développementale Prévalence Evaluations-Nationales Elèves Difficultés-en-mathématiques Index. décimale : PER Périodiques Résumé : L’auteur procède à une revue systématique et critique des recherches ayant abouti à une prévalence d’au moins 6 % d’élèves dyscalculiques. Ensuite, à partir de critères qu’il a développés et justifiés (in Nouvelle Revue de l’AIS, 32, 85-98, 2005), il procède à une estimation du pourcentage d’élèves dyscalculiques à partir de huit échantillons des évaluations nationales françaises pour les élèves de CE2 et de 6 (plus de 10 000 élèves au total). La convergence des conclusions de la revue et des résultats de l’estimation conduit l’auteur à avancer qu’un pourcentage de 6 % est excessif Si la dyscalculie est vue comme un trouble spécifique du calcul (et de rien d’autre : e.g., la géométrie ou l’orthographe), un pourcentage de l’ordre de 1% (voire moins) serait plus approprié. Dans ce cas, le pourcentage de 6 % d’élèves dyscalculiques ne devrait plus avoir droit de cité Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=471

La dyscalculie développementale: une conclusion / Jean-Paul FISCHER in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 102 (juin 2009)

Public ISBD [article]  inApproche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 102 (juin 2009) . - p.179-185 Titre : La dyscalculie développementale: une conclusion Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : Jean-Paul FISCHER, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p.179-185 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dyscalculie-développementale prévalence dépistage abstraction-réfléchissante Index. décimale : PER Périodiques Résumé : L’auteur revient, à la lumière des données nouvelles apportées par les différentes contributions à ce dossier, sur certaines questions relatives à la dyscalculie développementale (DD) qu’il a soulevées dans son texte de base. Cela le conduit notamment à réaffirmer que la prévalence de 6% de sujets dyscalculiques, souvent avancée, est exagérée et n’a guère de sens. Il présente et discute aussi (succinctement) un matériel — le Dyscalculia Screener de Butterworth —, récemment apparu sur le marché et spécifiquement destiné à la détection des sujets à DD. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=822 [article] La dyscalculie développementale: une conclusion [Texte imprimé et/ou numérique] / Jean-Paul FISCHER, Auteur . - 2009 . - p.179-185. Langues : Français (fre) in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 102 (juin 2009) . - p.179-185 Mots-clés : Dyscalculie-développementale prévalence dépistage abstraction-réfléchissante Index. décimale : PER Périodiques Résumé : L’auteur revient, à la lumière des données nouvelles apportées par les différentes contributions à ce dossier, sur certaines questions relatives à la dyscalculie développementale (DD) qu’il a soulevées dans son texte de base. Cela le conduit notamment à réaffirmer que la prévalence de 6% de sujets dyscalculiques, souvent avancée, est exagérée et n’a guère de sens. Il présente et discute aussi (succinctement) un matériel — le Dyscalculia Screener de Butterworth —, récemment apparu sur le marché et spécifiquement destiné à la détection des sujets à DD. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=822

L’effet de congruence physique peut-il aider à diagnostiquer la dyscalculie? / M. MARECHAL-NICOLAS in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 120-121 (Novembre-Décembre 2012)

Public ISBD [article]  inApproche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 120-121 (Novembre-Décembre 2012) . - p.555-559 Titre : L’effet de congruence physique peut-il aider à diagnostiquer la dyscalculie? Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : M. MARECHAL-NICOLAS, Auteur ; Jean-Paul FISCHER, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p.555-559 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dyscalculie développementale  Comparaison numérique  Effet de congruence  Effet de facilitation  Effet d’interférence  Mathématiques, Calcul Index. décimale : PER Périodiques Résumé : L’effet de congruence physique se manifeste par le fait double que les personnes ont plus de difficultés à comparer numériquement deux chiffres physiquement « incongruents » (par ex., 7 et 2 : effet d’interférence) que ces mêmes chiffres avec la même taille de caractères (7 et 2), et, surtout, que ces mêmes chiffres avec des tailles physiques congruentes (7 et 2 : effet de facilitation). Cet article présente une comparaison empirique entre des élèves de 8/9 ans, dûment sélectionnés pour leur pattern de dyscalculie (faibles en calcul/mathématique, mais significativement meilleurs en français), et des élèves appariés non dyscalculiques. Les élèves dyscalculiques se différencient des autres par un effet de facilitation accru. Nous suggérons que les élèves dyscalculiques bénéficient du traitement automatique de la taille physique, alors que leurs camarades, conscients des « pièges » introduits dans cette activité, restent méfiants même quand la taille physique est congruente. Cet effort de conscience empêche ces derniers de bénéficier pleinement de l’effet de facilitation, mais leur évite d’être induits en erreur par des chiffres physiquement incongruents. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=188 [article] L’effet de congruence physique peut-il aider à diagnostiquer la dyscalculie? [Texte imprimé et/ou numérique] / M. MARECHAL-NICOLAS, Auteur ; Jean-Paul FISCHER, Auteur . - 2012 . - p.555-559. Langues : Français (fre) in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 120-121 (Novembre-Décembre 2012) . - p.555-559 Mots-clés : Dyscalculie développementale  Comparaison numérique  Effet de congruence  Effet de facilitation  Effet d’interférence  Mathématiques, Calcul Index. décimale : PER Périodiques Résumé : L’effet de congruence physique se manifeste par le fait double que les personnes ont plus de difficultés à comparer numériquement deux chiffres physiquement « incongruents » (par ex., 7 et 2 : effet d’interférence) que ces mêmes chiffres avec la même taille de caractères (7 et 2), et, surtout, que ces mêmes chiffres avec des tailles physiques congruentes (7 et 2 : effet de facilitation). Cet article présente une comparaison empirique entre des élèves de 8/9 ans, dûment sélectionnés pour leur pattern de dyscalculie (faibles en calcul/mathématique, mais significativement meilleurs en français), et des élèves appariés non dyscalculiques. Les élèves dyscalculiques se différencient des autres par un effet de facilitation accru. Nous suggérons que les élèves dyscalculiques bénéficient du traitement automatique de la taille physique, alors que leurs camarades, conscients des « pièges » introduits dans cette activité, restent méfiants même quand la taille physique est congruente. Cet effort de conscience empêche ces derniers de bénéficier pleinement de l’effet de facilitation, mais leur évite d’être induits en erreur par des chiffres physiquement incongruents. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=188

L’effet de distance numérique peut-il aider à diagnostiquer la dyscalculie? / Jean-Paul FISCHER in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 120-121 (Novembre-Décembre 2012)

Public ISBD [article]  inApproche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 120-121 (Novembre-Décembre 2012) . - p.547-553 Titre : L’effet de distance numérique peut-il aider à diagnostiquer la dyscalculie? Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : Jean-Paul FISCHER, Auteur ; M. MARECHAL-NICOLAS, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p.547-553 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dyscalculie développementale  Effet de distance  Ecole élémentaire  Symptôme  Comparaison numérique Index. décimale : PER Périodiques Résumé : L’effet de distance numérique se manifeste par le fait que la comparaison de deux nombres proches (par ex., 4 et 5) est plus difficile (c’est-à-dire accroît les temps de réponse) que la comparaison numérique de deux nombres « lointains» (par ex., 2 et 7). En s’appuyant sur une revue de question et sur une étude expérimentale, cet article conclut que les élèves de l’école élémentaire présumés présenter d’une dyscalculie développementale (DD) sont autant, sinon plus, affectés par l’effet de distance que les autres en tant que groupe. Malgré ce constat général, certains enfants particuliers à DD pourraient ne pas présenter l’effet de distance. Tout ceci fait que l’on ne peut voir dans l’effet de distance numérique un élément simple et décisif du diagnostic de la dyscalculie développementale. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=188 [article] L’effet de distance numérique peut-il aider à diagnostiquer la dyscalculie? [Texte imprimé et/ou numérique] / Jean-Paul FISCHER, Auteur ; M. MARECHAL-NICOLAS, Auteur . - 2012 . - p.547-553. Langues : Français (fre) in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 120-121 (Novembre-Décembre 2012) . - p.547-553 Mots-clés : Dyscalculie développementale  Effet de distance  Ecole élémentaire  Symptôme  Comparaison numérique Index. décimale : PER Périodiques Résumé : L’effet de distance numérique se manifeste par le fait que la comparaison de deux nombres proches (par ex., 4 et 5) est plus difficile (c’est-à-dire accroît les temps de réponse) que la comparaison numérique de deux nombres « lointains» (par ex., 2 et 7). En s’appuyant sur une revue de question et sur une étude expérimentale, cet article conclut que les élèves de l’école élémentaire présumés présenter d’une dyscalculie développementale (DD) sont autant, sinon plus, affectés par l’effet de distance que les autres en tant que groupe. Malgré ce constat général, certains enfants particuliers à DD pourraient ne pas présenter l’effet de distance. Tout ceci fait que l’on ne peut voir dans l’effet de distance numérique un élément simple et décisif du diagnostic de la dyscalculie développementale. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=188

Les études par imagerie cérébrale nous éclairent-elles sur (la rééducation de) la dyscalculie? / Jean-Paul FISCHER

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