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Principaux facteurs expliquant la réussite et l’échec de l’apprentissage de la lecture / Liliane SPRENGER-CHAROLLES in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 116 (Février 2012)
[article]
Titre : Principaux facteurs expliquant la réussite et l’échec de l’apprentissage de la lecture Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : Liliane SPRENGER-CHAROLLES, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p.13-20 Langues : Français (fre) Mots-clés : Développement des procédures d’identification des mots écrits Automaticité des procédures d’identification des mots écrits Bases cérébrales des procédures d’identification des mots écrits Consistance de l’orthographe et apprentissage de la lecture Prédicteurs de 1’apprentissage de la lecture Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Le niveau de compréhension écrite d’un lecteur dépend de son niveau de compréhension orale et du degré d’automaticité des procédures qu’il utilise pour identifier les mots écrits, ces dernières étant spécifiques à la lecture. Le principal challenge auquel est confronté un lecteur débutant qui maîtrise la langue orale est donc d’arriver à automatiser les procédures d’identification des mots. C’est sur cette question que porte la première partie de l’article, sur la base de données comportementales et de neuro-imagerie. Les deux parties suivantes présentent des données sur ce qui facilite ou entrave l’apprentissage de la lecture dans une écriture alphabétique et sur les prédicteurs de cet apprentissage à partir d’une analyse 1) d’études comparatives effectuées dans des langues ayant une orthographe plus ou moins transparente et 2) d’études longitudinales effectuées en français. Les implications pour l’étude de la dyslexie développementale sont soulignées. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=154
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 116 (Février 2012) . - p.13-20[article] Principaux facteurs expliquant la réussite et l’échec de l’apprentissage de la lecture [Texte imprimé et/ou numérique] / Liliane SPRENGER-CHAROLLES, Auteur . - 2012 . - p.13-20.
Langues : Français (fre)
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 116 (Février 2012) . - p.13-20
Mots-clés : Développement des procédures d’identification des mots écrits Automaticité des procédures d’identification des mots écrits Bases cérébrales des procédures d’identification des mots écrits Consistance de l’orthographe et apprentissage de la lecture Prédicteurs de 1’apprentissage de la lecture Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Le niveau de compréhension écrite d’un lecteur dépend de son niveau de compréhension orale et du degré d’automaticité des procédures qu’il utilise pour identifier les mots écrits, ces dernières étant spécifiques à la lecture. Le principal challenge auquel est confronté un lecteur débutant qui maîtrise la langue orale est donc d’arriver à automatiser les procédures d’identification des mots. C’est sur cette question que porte la première partie de l’article, sur la base de données comportementales et de neuro-imagerie. Les deux parties suivantes présentent des données sur ce qui facilite ou entrave l’apprentissage de la lecture dans une écriture alphabétique et sur les prédicteurs de cet apprentissage à partir d’une analyse 1) d’études comparatives effectuées dans des langues ayant une orthographe plus ou moins transparente et 2) d’études longitudinales effectuées en français. Les implications pour l’étude de la dyslexie développementale sont soulignées. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=154 Une progression pédagogique construite à partir de statistiques sur l’orthographe du français (d’après Manulex-Morpho) : pour les lecteurs débutants et atypiques / Liliane SPRENGER-CHAROLLES in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 148 (Octobre/Novembre 2017)
[article]
Titre : Une progression pédagogique construite à partir de statistiques sur l’orthographe du français (d’après Manulex-Morpho) : pour les lecteurs débutants et atypiques Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : Liliane SPRENGER-CHAROLLES, Auteur Article en page(s) : p.247-256 Mots-clés : Orthographe Correspondance graphème-phonème Méthode d’apprentissage de la lecture Morphologie Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Pour comprendre ce qu’on lit dans une écriture alphabétique, il faut avoir maitrisé le décodage, c’est-à-dire les correspondances graphème-phonème (CGPh). C’est l’automatisation de cette procédure de lecture qui va permettre au débutant de constituer son lexique orthographique et, grâce à cela, de comprendre progressivement ce qu’il lit comme il comprend ce qu’il entend. Le décodage doit donc être enseigné systématiquement en tenant compte de la fréquence des CGPh dans les mots de la langue cible et, surtout, de leur consistance. En effet, cette dernière a un fort impact sur l’apprentissage de la lecture, les enfants apprenant mieux et plus vite à lire quand l’orthographe de la langue cible est consistante (en espagnol, et même en français, au moins pour la lecture) que lorsqu’elle ne l’est pas (en anglais). Les statistiques sur la fréquence et la consistance des CGP en français utilisées pour construire la progression présentée dans cet article sont issues de Manulex-Morpho, base de données élaborée à partir de Manulex. Cette dernière contient environ 2 000 000 de formes non lemmatisées (c’est-à-dire, tous les mots, y compris ceux avec des marques morphologiques) contenues dans 54 manuels du primaire. Le corpus de Manulex-Morpho comprend les entrées lexicales les plus fréquentes de Manulex, ce qui correspond à 98 % de celles incluses dans les manuels examinés. L’article présente les caractéristiques majeures de la base de données Manulex-Morpho ainsi que la progression proposée. Il est destiné non seulement aux personnes en charge de l’apprentissage de la lecture chez les lecteurs typiques et atypiques, mais aussi à leurs formateurs ainsi qu’aux concepteurs de manuels scolaires. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=372
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 148 (Octobre/Novembre 2017) . - p.247-256[article] Une progression pédagogique construite à partir de statistiques sur l’orthographe du français (d’après Manulex-Morpho) : pour les lecteurs débutants et atypiques [Texte imprimé et/ou numérique] / Liliane SPRENGER-CHAROLLES, Auteur . - p.247-256.
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 148 (Octobre/Novembre 2017) . - p.247-256
Mots-clés : Orthographe Correspondance graphème-phonème Méthode d’apprentissage de la lecture Morphologie Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Pour comprendre ce qu’on lit dans une écriture alphabétique, il faut avoir maitrisé le décodage, c’est-à-dire les correspondances graphème-phonème (CGPh). C’est l’automatisation de cette procédure de lecture qui va permettre au débutant de constituer son lexique orthographique et, grâce à cela, de comprendre progressivement ce qu’il lit comme il comprend ce qu’il entend. Le décodage doit donc être enseigné systématiquement en tenant compte de la fréquence des CGPh dans les mots de la langue cible et, surtout, de leur consistance. En effet, cette dernière a un fort impact sur l’apprentissage de la lecture, les enfants apprenant mieux et plus vite à lire quand l’orthographe de la langue cible est consistante (en espagnol, et même en français, au moins pour la lecture) que lorsqu’elle ne l’est pas (en anglais). Les statistiques sur la fréquence et la consistance des CGP en français utilisées pour construire la progression présentée dans cet article sont issues de Manulex-Morpho, base de données élaborée à partir de Manulex. Cette dernière contient environ 2 000 000 de formes non lemmatisées (c’est-à-dire, tous les mots, y compris ceux avec des marques morphologiques) contenues dans 54 manuels du primaire. Le corpus de Manulex-Morpho comprend les entrées lexicales les plus fréquentes de Manulex, ce qui correspond à 98 % de celles incluses dans les manuels examinés. L’article présente les caractéristiques majeures de la base de données Manulex-Morpho ainsi que la progression proposée. Il est destiné non seulement aux personnes en charge de l’apprentissage de la lecture chez les lecteurs typiques et atypiques, mais aussi à leurs formateurs ainsi qu’aux concepteurs de manuels scolaires. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=372 Quelles sont les méthodes les plus efficaces pour apprendre à lire? Etudes avec des enfants ayant appris à lire en langue maternelle ou seconde / Liliane SPRENGER-CHAROLLES in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 123 (Septembre 2013)
[article]
Titre : Quelles sont les méthodes les plus efficaces pour apprendre à lire? Etudes avec des enfants ayant appris à lire en langue maternelle ou seconde Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : Liliane SPRENGER-CHAROLLES, Auteur ; Pascale COLE, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p.127-134 Langues : Français (fre) Mots-clés : Méthode phonique Méthode globale Méthode idéovisuelle Apprentissage de la lecture Compréhension écrite identification des mots écrits Analyse morphologique Milieu social Difficultés spécifiques de lecture Dyslexie Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Il ressort de plusieurs méta-analyses qui ont comparé les effets, sur l’apprentissage de la lecture, d’un enseignement systématique des relations graphophonologiques par rapport à un enseignement non systémique, ou mineur, de ces relations que les méthodes du premier type sont les plus efficaces. Elles ont des effets positifs sur l’apprentissage des capacités de lecture de bas niveau (lecture de mots) et de haut niveau (compréhension) qui sont plus forts lorsqu’elles sont introduites précocement (1ère primaire ou avant) et qui persistent clans le temps. Elles sont bénéfiques pour les enfants ayant un développement typique ainsi que pour ceux à risque pour l’acquisition de la lecture (pour des raisons socio-économiques, par exemple) ou pour ceux souffrant de difficultés spécifiques de lecture (les dyslexiques). Par contre, elles n’ont qu’un impact limité sur les capacités de lecture (le haut niveau chez les apprenants de langue seconde. Les résultats d’une autre méta-analyse indiquent que l’intégration d’activités cl’ analyse morphologique clans une méthode facilite également 1’ apprentissage de la lecture. Il n’y a que très peu d’études ayant pris en compte les effets, sur l’apprentissage de la lecture en français, de différentes méthodes d’enseignement, certaines reproduisant les résultats observés en anglais, pas d’autres. Il est donc crucial de développer des études dans ce domaine clans cette langue. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=219
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 123 (Septembre 2013) . - p.127-134[article] Quelles sont les méthodes les plus efficaces pour apprendre à lire? Etudes avec des enfants ayant appris à lire en langue maternelle ou seconde [Texte imprimé et/ou numérique] / Liliane SPRENGER-CHAROLLES, Auteur ; Pascale COLE, Auteur . - 2013 . - p.127-134.
Langues : Français (fre)
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 123 (Septembre 2013) . - p.127-134
Mots-clés : Méthode phonique Méthode globale Méthode idéovisuelle Apprentissage de la lecture Compréhension écrite identification des mots écrits Analyse morphologique Milieu social Difficultés spécifiques de lecture Dyslexie Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Il ressort de plusieurs méta-analyses qui ont comparé les effets, sur l’apprentissage de la lecture, d’un enseignement systématique des relations graphophonologiques par rapport à un enseignement non systémique, ou mineur, de ces relations que les méthodes du premier type sont les plus efficaces. Elles ont des effets positifs sur l’apprentissage des capacités de lecture de bas niveau (lecture de mots) et de haut niveau (compréhension) qui sont plus forts lorsqu’elles sont introduites précocement (1ère primaire ou avant) et qui persistent clans le temps. Elles sont bénéfiques pour les enfants ayant un développement typique ainsi que pour ceux à risque pour l’acquisition de la lecture (pour des raisons socio-économiques, par exemple) ou pour ceux souffrant de difficultés spécifiques de lecture (les dyslexiques). Par contre, elles n’ont qu’un impact limité sur les capacités de lecture (le haut niveau chez les apprenants de langue seconde. Les résultats d’une autre méta-analyse indiquent que l’intégration d’activités cl’ analyse morphologique clans une méthode facilite également 1’ apprentissage de la lecture. Il n’y a que très peu d’études ayant pris en compte les effets, sur l’apprentissage de la lecture en français, de différentes méthodes d’enseignement, certaines reproduisant les résultats observés en anglais, pas d’autres. Il est donc crucial de développer des études dans ce domaine clans cette langue. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=219 Similitudes et différences entre les troubles développementaux du langage oral et la dyslexie décodage, compréhension écrite et orale, et expression / Ioanna TALLI in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 168 (Novembre 2020)
[article]
Titre : Similitudes et différences entre les troubles développementaux du langage oral et la dyslexie décodage, compréhension écrite et orale, et expression Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : Ioanna TALLI, Auteur ; Liliane SPRENGER-CHAROLLES, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p.598-609 Langues : Français (fre) Mots-clés : Troubles de développement du langage oral Dyslexie développementale Compréhension en lecture Compréhension orale Procédure phonologique de lecture Décodage Procédure lexicale de lecture Morphosyntaxe Syntaxe Sémantique Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Les principaux déficits spécifiques à deux troubles du développement, la dyslexie (DD) et les troubles du langage oral (TDLC), ont été examinés dans une recherche avec 20 enfants français de ces deux groupes cliniques (10 dans chaque groupe) appariés à 20 lecteurs typiques un groupe de 10 enfants de même âge chronologique (LTAC, 9 ans) et un de 10 enfants de même niveau de lecture, ou âge lexique (LTAL, 7 ans pour l’âge chronologique) dans la cadre de deux études. La première est une étude de groupe qui permet d’évaluer la significativité, ainsi que l’amplitude (ou la notabilité), des déficits observés dans chacun des deux groupes cliniques par rapport aux groupes contrôles. La seconde est une étude de cas multiples qui permet d’évaluer leur prévalence à l’intérieur de chacun de ces deux groupes cliniques. Les résultats présentés dans l’article portent sur les déficits caractéristiques de la dyslexie ceux de la voie lexicale de lecture (évalués par la lecture de mots fréquents) et, surtout, ceux de la voie phonologique (les capacités de décodage, évaluées par la lecture de pseudomots). Ils portent également sur les déficits caractéristiques des TDLO ceux aux niveaux morphosyntaxique (évalués en expression orale) et syntaxicosémantique (évalués en compréhension orale). Ils portent enfin sur la compréhension écrite au niveau syntaxico-sémantique, supposée déficitaire dans ces deux groupes, mais pas pour les mêmes raisons chez les premiers, ils proviendraient d’une faible maitrise du décodage; chez les seconds, ils s’expliqueraient par leurs déficits de compréhension orale. Les résultats obtenus soulignent les limites des études qui n’évaluent pas les troubles du langage oral chez des DD et les déficits de décodage chez les TDLO. De plus, ils révèlent les erreurs de diagnostic que peuvent engendrer des examens qui ne prennent en compte que la précision des réponses en lecture, pas la rapidité. Les implications de ces résultats pour la pratique orthophoniste sont fondamentales, tant pour le bilan que pour les orientations rééducatives des TDLO et des DD. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=439
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 168 (Novembre 2020) . - p.598-609[article] Similitudes et différences entre les troubles développementaux du langage oral et la dyslexie décodage, compréhension écrite et orale, et expression [Texte imprimé et/ou numérique] / Ioanna TALLI, Auteur ; Liliane SPRENGER-CHAROLLES, Auteur . - 2020 . - p.598-609.
Langues : Français (fre)
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 168 (Novembre 2020) . - p.598-609
Mots-clés : Troubles de développement du langage oral Dyslexie développementale Compréhension en lecture Compréhension orale Procédure phonologique de lecture Décodage Procédure lexicale de lecture Morphosyntaxe Syntaxe Sémantique Index. décimale : PER Périodiques Résumé : Les principaux déficits spécifiques à deux troubles du développement, la dyslexie (DD) et les troubles du langage oral (TDLC), ont été examinés dans une recherche avec 20 enfants français de ces deux groupes cliniques (10 dans chaque groupe) appariés à 20 lecteurs typiques un groupe de 10 enfants de même âge chronologique (LTAC, 9 ans) et un de 10 enfants de même niveau de lecture, ou âge lexique (LTAL, 7 ans pour l’âge chronologique) dans la cadre de deux études. La première est une étude de groupe qui permet d’évaluer la significativité, ainsi que l’amplitude (ou la notabilité), des déficits observés dans chacun des deux groupes cliniques par rapport aux groupes contrôles. La seconde est une étude de cas multiples qui permet d’évaluer leur prévalence à l’intérieur de chacun de ces deux groupes cliniques. Les résultats présentés dans l’article portent sur les déficits caractéristiques de la dyslexie ceux de la voie lexicale de lecture (évalués par la lecture de mots fréquents) et, surtout, ceux de la voie phonologique (les capacités de décodage, évaluées par la lecture de pseudomots). Ils portent également sur les déficits caractéristiques des TDLO ceux aux niveaux morphosyntaxique (évalués en expression orale) et syntaxicosémantique (évalués en compréhension orale). Ils portent enfin sur la compréhension écrite au niveau syntaxico-sémantique, supposée déficitaire dans ces deux groupes, mais pas pour les mêmes raisons chez les premiers, ils proviendraient d’une faible maitrise du décodage; chez les seconds, ils s’expliqueraient par leurs déficits de compréhension orale. Les résultats obtenus soulignent les limites des études qui n’évaluent pas les troubles du langage oral chez des DD et les déficits de décodage chez les TDLO. De plus, ils révèlent les erreurs de diagnostic que peuvent engendrer des examens qui ne prennent en compte que la précision des réponses en lecture, pas la rapidité. Les implications de ces résultats pour la pratique orthophoniste sont fondamentales, tant pour le bilan que pour les orientations rééducatives des TDLO et des DD. Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=439 Spécificité des troubles phonologiques et métaphonologiques dans la dyslexie du développement / P. LACERT in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 62-63 (Mai 2001)
[article]
Titre : Spécificité des troubles phonologiques et métaphonologiques dans la dyslexie du développement Type de document : Texte imprimé et/ou numérique Auteurs : P. LACERT, Auteur ; Liliane SPRENGER-CHAROLLES, Auteur Année de publication : 2001 Article en page(s) : p.104-114 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dyslexie du développement et difficultés non spécifiques de lecture Déficit phonologique et difficultés de lecture Capacités métaphonologiques et difficultés de lecture Capacitésvisuelles et difficultés de lecture Mémoire visuelle et difficultés de lecture Mémoire phonologiqueet difficultés de lecture Niveau de vocabulaire et difficultés de lecture Index. décimale : PER Périodiques Résumé : L’hypothèse principale de cette étude est que les dyslexiques — et non les enfants ayant un retard développernental général ont principalement des difficultés métaphonologiques et phonologiques. Cette hypothèse est évaluée à partir du suivi longitudinal, depuis la grande section de maternelle, d’une cohorte de 370 enfants. Après 4 ans de scolarisation primaire, nous avons dégagé de cette cohorte trois groupes (l’enfants en difficultés de lecture : un groupe ayant un (léficit en lecture peu sévère et deux groupes ayant un déficit plus sévère qui se distinguent par leur niveau intellectuel :
seuls les « dyslexiques > n’ont pas de déficit intellectuel accompagnant le trouble lexique. Ces enfants
ont été appariés à un groupe de normolecteurs par l’âge ainsi qu’en fonction (les scores obtenus avant
l’apprentissage institutionnel (le la lecture (en grande section (le maternelle) (lans une épreuve de QI
non verbal, dans un test (le vocabulaire oral ainsi que dans des épreuves de lecture et de connaissance
des lettres. Depuis le (lébut de l’étude, on a évalué les capacités métaphonologiques et métamusicales
de ces enfants ainsi que leur QI non verbal (Rayen) et leur niveau verbal (vocabulaire). Ils ont
également passé, après 4 ans (le scolarisation primaire, (les épreuves de mémoire visuelle et phono-
logique, une épreuve de répétition rapide de stimuli connus (objets, lettres et nombres) et une épreuve
de répétition rapide (le pseudomots. Nos résultats indiquent que les dyslexiques se caractérisent principalement par des déficits métaphonologiques et phonologiques, et non par des difficultés liées à la mémoire visuelle ou à l’analyse auditive stricto sensu. Des résultats différents sont observés chez les enfants ayant un retard développemental général.Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=197
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 62-63 (Mai 2001) . - p.104-114[article] Spécificité des troubles phonologiques et métaphonologiques dans la dyslexie du développement [Texte imprimé et/ou numérique] / P. LACERT, Auteur ; Liliane SPRENGER-CHAROLLES, Auteur . - 2001 . - p.104-114.
Langues : Français (fre)
in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E. > 62-63 (Mai 2001) . - p.104-114
Mots-clés : Dyslexie du développement et difficultés non spécifiques de lecture Déficit phonologique et difficultés de lecture Capacités métaphonologiques et difficultés de lecture Capacitésvisuelles et difficultés de lecture Mémoire visuelle et difficultés de lecture Mémoire phonologiqueet difficultés de lecture Niveau de vocabulaire et difficultés de lecture Index. décimale : PER Périodiques Résumé : L’hypothèse principale de cette étude est que les dyslexiques — et non les enfants ayant un retard développernental général ont principalement des difficultés métaphonologiques et phonologiques. Cette hypothèse est évaluée à partir du suivi longitudinal, depuis la grande section de maternelle, d’une cohorte de 370 enfants. Après 4 ans de scolarisation primaire, nous avons dégagé de cette cohorte trois groupes (l’enfants en difficultés de lecture : un groupe ayant un (léficit en lecture peu sévère et deux groupes ayant un déficit plus sévère qui se distinguent par leur niveau intellectuel :
seuls les « dyslexiques > n’ont pas de déficit intellectuel accompagnant le trouble lexique. Ces enfants
ont été appariés à un groupe de normolecteurs par l’âge ainsi qu’en fonction (les scores obtenus avant
l’apprentissage institutionnel (le la lecture (en grande section (le maternelle) (lans une épreuve de QI
non verbal, dans un test (le vocabulaire oral ainsi que dans des épreuves de lecture et de connaissance
des lettres. Depuis le (lébut de l’étude, on a évalué les capacités métaphonologiques et métamusicales
de ces enfants ainsi que leur QI non verbal (Rayen) et leur niveau verbal (vocabulaire). Ils ont
également passé, après 4 ans (le scolarisation primaire, (les épreuves de mémoire visuelle et phono-
logique, une épreuve de répétition rapide de stimuli connus (objets, lettres et nombres) et une épreuve
de répétition rapide (le pseudomots. Nos résultats indiquent que les dyslexiques se caractérisent principalement par des déficits métaphonologiques et phonologiques, et non par des difficultés liées à la mémoire visuelle ou à l’analyse auditive stricto sensu. Des résultats différents sont observés chez les enfants ayant un retard développemental général.Permalink : https://www.cra-rhone-alpes.org/cid/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=197 Stabilité dans le temps des déficits en et hors lecture chez des adolescents dyslexiques (données longitudinales) / Liliane SPRENGER-CHAROLLES in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 103 (Octobre 2009)
PermalinkStabilité dans le temps et inter-langues des sous-types de dyslexie développementale / Liliane SPRENGER-CHAROLLES in Approche Neuropsychologique des Apprentissages chez l'Enfant - A.N.A.E., 62-63 (Mai 2001)
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